23-AOU-2011:
un cuir de plus
Ces derniers temps je me suis amusé à
polir le tranchant de mon ESEE-3 et de l'Izula II. J'ai fait
disparaitre les stries visibles de la meule à coup de pierre
Gesswein 600, puis de coticule et enfin au cuir tendu avec pâte
à polir puis cuir seul.
M'y prenant comme un pied j'ai réussi
à abimer un peu le cuir avec la pointe des couteaux. Et puis je
suis tombé un peu par hasard sur un cuir bon marché sur
un site français d'outils pour travailler le bois. Apparemment
c'est pour affûter des rabots d'après l'étiquette
mais le mode d'emploi ne parle que de rasoirs.

Simple face, rugueuse pour la pâte blanche (2 microns selon le
site).
La taille de 300 X 75 [mm] est impressionnante (ce serait pour des
rabots).
Le bloc de pâte est sec et bien plus gros que le Puma (gras).
Coût avec port 24.40 EUR. Pas encore testé.
31-AOU-2011:
deux petits couteaux en provenance des Amériques.
Bien inspiré par l'Izula II, je voulais voir
des variantes mais proches. Je me suis rendu compte que le GB-763 qui
m'accompagne tous les jours et que j'apprécie de plus en plus a
exactement les dimensions de l'Izula, tant la lame que le manche. Le
GB-763 est une sorte d'Izula pliant de par les dimensions et la forme
de la lame. J'ai donc commandé un Izula avec un
jeu de plaquettes. Et ils en dû en vendre les bougres! Mon
exemplaire porte le numéro 20911! Le passage dragonne est plus
gros que sur l'Izula II. Bien qu'équilibré visuellement
dans les
proportions, le manche est trop petit. Je n'ai pas des grandes mains
mais c'est insuffisant malgré tout. Pourquoi cela a-t-il
meilleur rendu avec le GB-763? Sans doute l'épaisseur du manche.

Comme toujours: étui plastique, mode d'emploi, "carte" de survie.
C'est bien pour cela que j'ai pris un manche
optionel mais contrairement à l'Izula II, celui-ci n'englobe pas
le passage de la dragonne et c'est bien là mon problème.
Pour moi c'est très désagréable dans la paume. Il
faudrait peut-être plus d'habitude.

Toujours la carte! Les plaquettes s'ajustent très
précisement. Toujours des vis hexacaves de 3/32"
Clairement je conseille plutôt l'Izula II pour
un homme. Le I peut bien convenir à une femme. Coût Izula
avec port (partagé au pro rata des 3 articles commandés)
et un cours
avantageux du dollar: 35.32 EUR. Coût des plaquettes du manche
dans
les mêmes conditions: 14.44 EUR

La zone à problème: manche trop court de 10 mm et manque
de matière à saisir en bout d'annulaire
et auriculaire. Je n'aime pas du tout le rendu en main. Comme sur
l'Izula II, le micarta devrait recouvrir
tout le manche.
Bien que la finition et le tranchant soit
rigoureusement identique à mon Izula II, cet Izula est capable
de me raser les poils de l'avant-bras. La différence doit
être à une échelle inférieure à ce
que mes yeux peuvent voir, même avec une loupe.
Il existe aussi le Becker BK14 qui est la fusion
entre la très populaire lame du BK11 de la même
société (mais avec un manche à chier) et le manche
de l'Izula. Le couteau porte les logos de deux marques: BK-T (pour
Becker Knife and Tool, dont les couteaux s'appellent souvent Ka-Bar) et
ESEE. Cela donne le EsKaBar. Avec 95 mm, la longueur du manche est
comprise entre
celle de l'Izula (91 mm) et de l'Izula II (103 mm).

Boîte 10 fois trop grande mais très bien faite. Paracorde
pour faire le manche. Etui papier noté BK11
au lieu de BK14 et étui en plastique (à jeter à la
poubelle ou à modifier).
L'acier est un 1095 Cro Van. C'est le 1095 des ESEEs
avec des traces de Chrome et de Vanadium. Je soupçonne le
traitement thermique d'être moins pointu que celui de Rowen sur
les ESEEs. Je regrette l'absence de stries pour l'appui du pouce. Le
revêtement noir est plus lisse que sur les ESEEs et semble
beaucoup moins costaud à vue de nez. Aucune doc livrée
mais les sites de vente donne un angle de 15°, ce qui est vraiment
faible. Par contre l'encoche à la naissance de la lame
permettant un affûtage complet est plus généreuse
que sur les Izulas. Coût avec port (partagé au pro rata
des 3 articles) et un cours avantageux du dollar: 26.49 EUR. Un
excellent
rapport qualité prix à première vue.

De haut en bas: Izula, BK14 et Izula II. Respectivement par rapport
à l'Izula, +4 mm pour le BK14
et +12 mm pour l'Izula II. (photo nulle, désolé)
La rumeur prétend que l'étui
émousse la lame. En sortie de boîte, pas de
problème pour se raser les poils. Je range le couteau dans son
étui en prenant soin que le tranchant ne touche nulle part. Je
joue avec, je l'observe à la loupe... Et plus de rasage.
Incroyable. Sorti 2 fois avec tout le soin du monde, adieu le tranchant
rasoir. Vous y croyez vous?! Inspection à la loupe du tranchant:
je ne vois rien mais la meule qui a fait les stries doit avoir un
défaut. Tous les 2 mm il y a des stries plus profondes. La
surface est encore moins lisse (si on peut dire, vu l'état) que
celle des Izulas. Difficile de voir à l'oeil les 30 et 40°
d'angle au sommet et de les distinguer à coup sûr. Je
suppose que c'est la fibre de verre de l'étui (made in Taiwan
comme il est précisé un peu partout sur le produit) qui
abîme le tranchant.
Bon ben nous voilà avec deux projets alors:
en plus de lui faire un manche de type Izula II, il faudra lui faire un
étui en Kydex.
01-SEP-2011
J'ai encore rangé le BK14 2-3 fois dans son
étui avec beaucoup de soin. J'ai décidé de
l'affûter ce soir. Je fais un test de coupe sur du papier pour
constater l'état de départ. Impossible! Il y a
carrément refus de coupe pour du papier aujourd'hui! Loupe: RAS.
Mince alors.
Bon alors j'attaque. Je marque le tranchant avec un
feutre et j'y passe ma pierre Norton à gros grains avec de
l'eau. La façon dont le feutre s'efface permet de trouver le bon
angle si on tient la pierre comme une lime. Je fais cela plusieurs fois
jusqu'à ce que les stries disparaissent à la loupe. Je
n'ai pas mesuré l'angle mais je n'ai pas l'impression qu'il soit
de 15° comme annoncé, je dirai même plus de 25° en
fait.
Idem de l'autre côté. Puis ma pierre
artificielle peu large Gesswein de 600, puis la pierre de coticule
belge, puis le cuir avec la pâte verte au dioxyde de chrome, puis
le cuir seul, puis de la pâte à polir les métaux
"Autosol" et enfin de la cire automobile (ces deux derniers c'est pour
protéger le tranchant de l'oxydation). Bon là c'est un
vrai
petit rasoir. J'évacue loin l'étui Ka-Bar et je remets le
couteau dans son étui de carton. Comme déjà dit,
il faut lui un étui sur mesure en Kydex. Vais pas me ruiner 40
minutes d'affûtage aux petits oignons!
Je vais aussi essayer de me faire un manche en
micarta maison et tant que j'y serai je tacherai de le creuser
façon HEST. Je compte faire les tubes filetés avec mon
tour. Récemment j'ai fait du rangement, je l'ai nettoyé
de fond en comble pour la première fois après son achat
d'occasion et j'ai acheté quelques outils de base mais à
plaquettes carbure. Je tacherai de vous photographier tout cela.
08-SEP-2011: considérations
esthétiques et étui kydex
Voici 4 couteaux. De haut en bas, le DPX Gear/ESEE
H.E.S.T., le Becker BK14 "EsKaBar", le ESEE Izula et le SRM GB-763.

Observer les proportions.
En main, le HEST a
l'air plus grand mais en fait sa lame est même plus petite que
celui de l'EsKaBar. A vrai dire, le HEST peut même servir de
couteau de cou ("neck knife"). C'est surtout son épaisseur qui
lui fait prendre du poids par rapport au BK14.
En attendant de me faire un manche pour le BK14, j'y
ai enroulé la paracorde fournie. J'ai essayé plusieurs
variantes (ici celle de ESEE sur la notice des Izulas) mais
c'est toujours la fin qui est loin d'être optimale pour rester
poli. Je
voudrai n'avoir qu'une seule épaisseur de paracorde et surtout
quelque chose de continu. Bref ce n'est pas déagréable en
main, un très bon grip mais cela manque encore un peu
d'épaisseur selon moi.
L'Izula est plus joli que l'Izula II car les
proportions entre manche et lame sont plus harmonieuses. Sur l'Izula II
le long manche donne un air un peu bizarre. Remarquez que le GB-763 a
exactement les proportions de l'Izula (le manche du premier est plus
court de 2 mm). Je ne serai pas étonné que les Chinois
s'en soient inspirés. Lorsqu'on les superpose, les similitudes
sont frappantes, c'est limite une copie. Il n'y a que le congé
pour l'index qui est plus marqué sur l'Izula mais il fait une
énorme différence. Alors pourquoi suis-je plus à
l'aise avec mon GB-763 de tous les jours qu'avec l'Izula? Comme dit
plus haut, je pense que le problème vient simplement de la
variation d'épaisseur du manche. Le GB-763 est plus fin mais
constant alors qu'entre l'anneau et le manche de l'Izula, il y a 10 mm
de différence.
En achetant le Trapper chez Brisa, j'avais
commandé une feuille de Kydex noir de 300 X 150 X 1.5 [mm]. Hier
j'ai
fait mon premier étui. Le but n'était pas l'étui
parfait et léché mais surtout d'apprendre et de pouvoir
ranger l'EsKaBar. Voici donc les leçons tirées.
Kydex
Le kydex avait une face brillante et une face mate. Pour le prochain
essai, je crois que je prendrai la face mate en extérieure.
C'est plus sobre.
Chauffe
- Pour éviter les soucis en cuisine, j'ai utilisé un
décapeur thermique
Géométrie
- Ici j'ai fait une variante pliée. Une variante en deux parties
qui dépassent tout autour (comme pour le HEST) serait plus
polyvalente mais aussi plus volumineuse. - La forme finale a simplement
était poncée (ponceuse vibrante puis à la main),
cela marche très bien.
- Au niveau du pli, je pensais obtenir quelque chose de carré
mais c'est resté arrondi. C'est finalement pratique pour
"dévérouiller" le couteau avec un simple appui du pouce
en
1.
Mais il n'y a pas d'éjection totale comme avec le HEST.
Sans doute à cause de la forme très ajustée. Sur
le HEST, c'est plus lâche.
- J'avais prévu large autour de la forme de la lame avec un
patron en papier mais cela n'a pas encore suffit. Toujours
prévoir
bien
plus.
- J'avais d'abord plié en deux le kydex, puis percé les
trous, mis les oeillets, chauffé, puis pressé. Cela a
l'avantage de tout maintenir en place. Je crois que percer
après pressage doit apporter d'autres
avantages/inconvénients. A tester selon l'application.
Oeillets
Je n'ai pas les bons oeillets. Ici c'est un lot en laiton vendu avec
des pinces à sertir "du camion" d'origine chinoise et plus que
merdique. Il faut absolument ceux utilisés en coutellerie pour
l'efficacité et la finition.
- Ces oeillets sont trop courts avec à peine 3.5 mm de longueur
sous tête
- Le diamètre est trop petit pour y passer des accessoires (vis
pour "Teklok", étui "Molle" , paracorde...)
- A l'arrière il n'y a que de petites griffes et pas de finition
propre avec une jolie seconde tête. Je m'y suis repris au moins 2
fois sur chaque oeillet pour essayer d'avoir quelque chose de pas trop
moche.
- J'ai finalement utilisé un marteau et la bouterolle de la
pince à sertir pour obtenir un résultat optimal / le
moins pire possible (si on peut dire, vue la merdicité notoire
du matos) mais la tête est écrasée
- L'oeillet
5 est
encore trop proche de la lame
- Bien prendre des distances standards comme entraxe des oeillets pour
avoir un maximum de solutions de port (comme sur le HEST, l'ESEE-3 ou
l'Izula)
Fonctionnement
- Très bon verrouillage au niveau du ricasso, en
2 (je
crois
qu'on dit ricasso).
- Aucun mouvement du couteau en secouant l'étui.
- Le couteau reste enfin affûté!
- L'entrée/sortie du couteau joue sur l'élasticité
de l'étui près de la forme du ricasso. L'étui
"s'ouvre". L'oeillet en
3
était trop près et a
sauté à la première manipulation. S'il ne saute
pas parce que bien dimensionné (au moins 4 mm sous tête),
je doute que le couteau puisse
sortir. Cet oeillet doit être mis plus loin, ici en
4.
Pressage
- Je n'avais pas protégé la lame car je voulais que
l'étui l'épouse au plus près. Cela semble OK.
- J'ai fait une presse basique avec deux chutes de bois (copeaux
pressés) de 200 X 95 X 15 [mm] environ et 3 couches de
mousse de 5 mm chacune, collées à la
colle néoprène. Il m'en restait presque 2 m
2
de la
reproduction des joints de feux AR de ma CRX.
- Pressage dans un étau 100 X 100 [mm]. Pas de soucis.
- J'ai laissé refroidir une bonne demi-heure dans l'étau.
- Il faut une autre mousse, la chaleur (environ 120 à 150°C)
laisse des traces indélébiles réduisant la mousse
à l'usage unique.

24 h après pressage, la forme de l'étui est restée
sur la mousse... Foutu donc.
Vu tout ce que
j'ai appris et un résultat pas si mauvais, le bilan est
largement positif!
10-SEP-2011:
tentative de fabrication d'une plaquette micarta sur base de toile de
Nimes (denim!)
J'ai trouvé un exemple de cette fabrication
par hasard sur le Net. Il faut découper un vieux jean en bandes.
On assemble les bandes par enduction de résine polyester et on
presse le tout. C'est exactement ainsi qu'est fabriqué le
micarta sur base canevas, lin, papier...
Je me suis aussi procuré de la résine
sur ebay parce qu'en rayon auto, celle vendue pour la réparation
de carrosserie a toujours un durcisseur/catalyseur de couleur -souvent
rouge- et je ne voulais pas faire un manche rose...

Et voilà un vieux jean. Pour le manche de mon BK14, j'ai
coupé des bandes de 20 X 5 [cm].
12 pour être précis. Pressées ensemble cela fait
une épaisseur de 5 mm.
(vous pensez quoi du carrelage du rez-de-chaussée chez moi?)

Me voilà chez mes parents. Bien que soi-disant presque incolore,
la résine est bleue. Coup de bol
pour le jean, c'est plutôt bien. Le papier sulfurisé
était un truc du Net pour "démouler" son cake plus
facilement.
Dosage de la résine et du
catalyseur: il est précisé 1 à 2%. Donc
j'écris au vendeur en posant 2 questions
1 le pourcentage est en masse ou en volume?
2 z'auriez pas un truc plus simple style 10 gouttes pour 100 g de
résine?
Réponse: "z'avez qu'à faire 10 graduations sur votre
flacon de catalyseur".
Super je vais loin avec ça. La hauteur du niveau dans le flacon
est de 7
mm! Va graduer ça en 10 intervalles égaux toi! On oublie
les questions, celui qui répond est juste un vendeur.
Bon je suis parti du fait que c'est en volume. J'ai
sorti une règle et ma caltoche. En gros 1 kg de résine
ça faisait 850 ml. Le volume en ml du catalyseur fait 2.2% des
850 ml.
En sachant qu'il faut 20 gouttes d'eau environ pour
faire un ml, je suis arrivé au résultat qu'il faut
environ 25 gouttes de catalyseur pour 100 g de résine si on dose
à 1.5%.
On prépare tout à l'avance: papier,
deux planches bien planes, 3 serre-joints, des gants jetables, le
récipient, une touillette pour mélanger, une balance, un
local bien ventilé... La chaleur et une trop grande
quantité de catalyseur accélèrent la prise. Et
c'est parti. C'est plutôt facile.

Et voilà 15 minutes plus tard. Ça pue! Prévoir du
journal au sol pour ce qui dégouline au pressage.
100 g semble être la quantité parfaites pour 12 bandes de
20 X 5 [cm].
2 heures plus tard
la résine est encore liquide... 25 gouttes ça doit pas
être suffisant... Bon on verra demain matin mais j'ai
l'impression qu'il va y avoir une seconde édition de la puanteur.
11-SEP-2011:
Rome ne s'est pas faite en un jour
La ménopause pour hommes, ça existe?
Nan passqu'alors que j'écris ces lignes, j'ai une fois de plus
une grosse bouffée de chaleur. C'est pas normal ça. Oui
bon je sais on dit andropause. Voyons wikipedia:
"
L’andropause
est un phénomène biologique, similaire à la
ménopause de la femme, qui peut affecter les hommes entre
quarante et cinquante-cinq ans. À l’inverse des femmes,
les hommes n’ont pas de jalon net comme la cessation des
menstruations pour marquer cette transition. Tous deux, toutefois, se
caractérisent par une baisse des niveaux hormonaux. Les
œstrogènes chez la femme, la testostérone chez
l’homme. Les changements corporels surviennent très
graduellement chez l’homme et peuvent être
accompagnés de changements d’attitudes et d’humeurs,
de fatigue, de perte d’énergie, d’appétit
sexuel et d’agilité physique."
Ah merde. Me v'là quarantenaire depuis 2
semaines. Je n'aurai pas eu de répit alors? Et de continuer:
- "signes sexuels à type
de baisse de la libido, espacement des rapports, troubles de
l'érection;
- signes morphologiques comportant une
perte de masse musculaire et de force, prise de poids de type
gynoïde, une diminution de la pilosité axillaire, pubienne,
et du volume testiculaire, une ostéoporose, une peau amincie et
sèche;
- signes fonctionnels avec
asthénie, hypersudation,
parfois bouffées
de chaleurs, troubles
mictionnels, du sommeil,
avec augmentation des apnées du sommeil;
- troubles neuropsychiatriques
avec une difficultés
de concentration, manque de confiance en soi, irritabilité ou
indifférence, baisse
d'aptitude au travail, troubles
de la mémoire récente."
Ah mais c'est terrible ça. J'ai
souligné mes symptômes. Le reste je crois que ça va
encore. Je vais peut-être aller consulter. Ou alors... Je fais le
contraire. Je méprise et je tape encore plus dans la butte. On
verra, je vous tiendrai au courant.
Bon, petite mise à jour. La résine qui
a coulé a durci mais le composite sur base toile denim est
resté mou et collant. J'ai déjà
redécoupé 12 bandes de 20 X 5 [cm]. On va remettre le
métier sur l'ouvrage.
Troubles de
l'érection, diminution testiculaire, j'voudrai bien voir
ça, te peterait le cul moi...